En p. 1: "On reunit souven ces deux monologues dans les concerts pour en former un seul nº. Le premier morreau compose pour l'Alceste française, traudit avec une verité poignante la lutte entre les sentiments instinctifs de la mère et l'heorisme exalté de l'epouse. Le second superbe cri de défi jeté à la face des Immortels insensibles, est un remaniement de l'air de l'alceste italienne "Ombre, larve, compagne di morte". Ces deux impérissables monuments de la musique dramatique s'imposent à l'étude de toutes les jeunes cantatrices qui aspirent à la possessiou du grand art de la déclamation musicale"

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